Le Japon, son Histoire et ses coutumes font partie des choses qui manquent étonnamment à ma culture générale et en particulier littéraire. L’Asie n’est pas la région du monde qui m’attire le plus et j’avoue que je ne m’y suis jamais vraiment intéressée. Et puis en vieillissant, on se dit qu’une certaine curiosité n’a jamais fait de mal à personne, et on achète un roman de fantasy japonaise avant de le laisser moisir dans sa PAL pendant des années. Pas très glorieux tout ça !
Autant dire que, sans une lecture commune pour me booster, Le silence du rossignol risque de tomber en lambeaux avant que je ne daigne me plonger dedans. C’est pourquoi je l’ai proposé sur l’Imag’In Café pour le mois de Juillet, en espérant recevoir un peu de compagnie et de motivation. Bingo ! Il a été sélectionné. C’est donc avant le 31 Juillet 2018 que j’aurais lu et chroniqué ce livre.
D’autres tentés parmi vous ?
Lecture commune avec : liste à venir.
Plus d'informationsAutant dire que, sans une lecture commune pour me booster, Le silence du rossignol risque de tomber en lambeaux avant que je ne daigne me plonger dedans. C’est pourquoi je l’ai proposé sur l’Imag’In Café pour le mois de Juillet, en espérant recevoir un peu de compagnie et de motivation. Bingo ! Il a été sélectionné. C’est donc avant le 31 Juillet 2018 que j’aurais lu et chroniqué ce livre.
D’autres tentés parmi vous ?
Lecture commune avec : liste à venir.
Le Clan des Otori, tome 1 : Le silence du rossignol, de Lian Hearn
Éditions Folio (2013) - 370 pages - Support papier - Fantasy
Dans sa forteresse d’Inuyama, l’impitoyable seigneur Iida Sadamu, du clan des Tohan, assure sa protection grâce au “parquet du rossignol” qui conduit à sa chambre. Construit avec un art consommé, ce parquet chante au moindre effleurement d’un pied humain. Aucun assassin ne peut le franchir sans qu’Iida l’entende… Au XVIème siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit dans un village tranquille, au sein d’une communauté qui condamne la violence. Mais cette communauté est victime de persécutions, et les habitants du village de Takeo sont massacrés par les hommes d’Iida. Sauvé et adopté par sire Shigeru, chef du Clan des Otori, le jeune garçon se trouve plongé dans un univers d’intrigues et de luttes violentes entre les clans de ce Japon féodal. Animé par son désir de vengeance et son devoir de loyauté, transporté par l’intensité de son amour pour la belle Kaede, Takeo devra trouver sa propre voie. Sa quête le conduira derrière les murailles d’Inuyama, où il devra franchir le parquet du rossignol… Cette nuit-là le rossignol se taira-t-il ?
Éditions Folio (2013) - 370 pages - Support papier - Fantasy
Dans sa forteresse d’Inuyama, l’impitoyable seigneur Iida Sadamu, du clan des Tohan, assure sa protection grâce au “parquet du rossignol” qui conduit à sa chambre. Construit avec un art consommé, ce parquet chante au moindre effleurement d’un pied humain. Aucun assassin ne peut le franchir sans qu’Iida l’entende… Au XVIème siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit dans un village tranquille, au sein d’une communauté qui condamne la violence. Mais cette communauté est victime de persécutions, et les habitants du village de Takeo sont massacrés par les hommes d’Iida. Sauvé et adopté par sire Shigeru, chef du Clan des Otori, le jeune garçon se trouve plongé dans un univers d’intrigues et de luttes violentes entre les clans de ce Japon féodal. Animé par son désir de vengeance et son devoir de loyauté, transporté par l’intensité de son amour pour la belle Kaede, Takeo devra trouver sa propre voie. Sa quête le conduira derrière les murailles d’Inuyama, où il devra franchir le parquet du rossignol… Cette nuit-là le rossignol se taira-t-il ?







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